InvitéInvité
 | | Mer 29 Jan - 21:29 | |
|  Age 30 ans; Date de naissance 13/08/1979; Lieu de naissance Chicago, Illinois ; Nationalité Américain ; Activité Docteur dans l’armée ; Situation Célibataire ; Sexualité Bisexuel ; « L’ironie, c’est de se retrouver à recoudre un gamin qu’on risque de renvoyer à la maison dans un caisse en bois dès le lendemain. Mais tant qu’on pourra sauver une vie, on continue. » ft. Sebastian Stan, MILITARY-CAMP MEMBER Bonjour, je suis Lincoln David Riordan,  Supporte bien le stress . Méthodique . Fiable . Réservé . Tendance cynique . Très exigeant envers lui-même
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Danno,
Je sais, j’avais promis d’être là pour ton anniversaire, mais je n’ai pas pu avoir de permission. Mais je ne m’inquiète pas, te connaissant, tu as du boire pour nous deux. Étrangement les docteurs ici ne manquent jamais de travail… Et tu me connais suffisamment, petit frère, pour comprendre que je ne peux pas rentre s’il n’y a personne pour me relever. Je t’écris entre deux gardes, avant d’aller me vautrer sur mon lit de camps et de tenter de dormir quelques heures. Je crois que je viens de passer plus d’une journée d’affilée debout. Ma montre s’est arrêtée et je n’ai pas songé à demander aux autres. Il faut dire que le plus important, c’est le nombre de personnes qu’on peut soigner. Je dois avouer que je commence à accuser le coup, j’espère que tu arriveras à relire mon écriture.
Je te promets que je rentrerai à la prochaine permission. On se fera une soirée entre hommes toi et moi. Je sais que tu songes à rejoindre l’armée, maman m’en a touché deux mots. Je te demanderais juste de bien considérer toutes les options. Tu n’es pas forcé de marcher dans mes traces ou celles de papa, tu sais ? Enfin, la décision t’appartient et quelle que soit la décision que tu prendras, tu auras toujours mon soutien. Concentre toi sur tes examens et pas sur les jolies filles, aussi… Sauf une en particulier… si tu vois ce que je veux dire ! (Mais invite-la à boire un verre bon sang !!). Tu te souviens de ce que je t’ai dit le jour où on a enlevé les petites roues à ton vélo ? Eh bien, c’est la même chose ! Prend ton courage à deux mains et fonce ! (J’aurais bien ajouté « je veux être tonton un jour », mais te connaissant, tu risquerais de me retourner la politesse.).
Si ma perm’ est suffisamment longue, on prendra ma vieille voiture, toi et moi, et on tracera jusqu’à Chicago. Tu m’as écris l’autre fois que tu ne te souvenais pas de notre ancienne maison. Moi, j’ai des souvenirs pour deux, alors on ira là-bas. Je n’avais que neuf ans quand on est partis, mais j’ai suffisamment de souvenirs pour reconnaitre le quartier. Et la maison si c’est toujours la même. On s’arrêtera au glacier, tu ne t’en souviens peut-être pas, mais on tannait toujours les parents pour s’y arrêter l’été…
Vous me manquez tous les trois, mais je sais que je suis à ma place ici. Je rafistole les gens. J’essaye de leur remonter le moral aussi, je ne suis pas psy, mais parfois, ils s’en foutent que ce soit un psy ou non qui les écoutent, ils ont besoin de craquer un coup. Je sers de soupape de sécurité. Moi je tiens le coup. C’est plus dur pour les jeunes en général.
Embrasse papa et maman pour moi,
Ton grand frère qui vous aime tous et qui est fier de toi, tête de nœud,
Lee.
Bonjour Invité, pourriez-vous m'en dire un peu plus quand à votre arrivée à Belmont ?« J’y suis arrivé quand j’étais enfant. Je viens d’une famille de militaires, mais c’est lorsque mon père s’est porté volontaire pour la première guerre du Golfe qu’on a emménagé à Belmont. Mon frère n’était pas encore né. Au début, je n’aimais pas vraiment la ville, ni que mon père soit absent. Si je n’avais pas fréquenté d’autres enfants et d’autres familles de militaires, je crois que j’aurais été un gars vraiment insupportable. L’armée a toujours fait partie de ma vie en fait. Mais enfant, je ne voulais vraiment pas être militaire. » Très bien. Et votre famille, vos amis, comment ça se passe avec eux ?« Ils préfèreraient que je rentre plus souvent. Les lettres, ça va bien un temps. Mon père comprend, bien sûr, parce que c’est un vétéran. Mais c’est mon petit frère le plus à plaindre. On a toujours été très proche, alors forcément, quand je ne suis pas là à Noël ou pour son anniversaire, ça lui fait mal. On essaye de s’écrire une fois par semaine. Et essayer d’avoir une conversation téléphonique une fois par mois, mais c’est plus compliqué. On est restés simples. Je reste le fils aîné. Je ne suis pas un héros, juste un homme qui fait son devoir et ils en sont fiers. Mes amis sont presque tous eux aussi dans l’armée. » Hmmm d'accord. Et vous pouvez me parler de votre rapport avec l'armée ? « Comme pas mal de jeunes de mon âge, je me suis engagé au lendemain des attentats du 11 septembre. J’ai tout plaqué, alors que j’étais promis à une brillante carrière. Mais je ne voulais pas être juste un combattant. Je voulais défendre mon pays et empêcher que plus de personnes meurent. J’ai commencé comme infirmier et j’étais plutôt doué, alors, mes supérieurs m’ont encouragé et aidé à augmenter en compétences. Aujourd’hui, je suis Docteur, et peut-être que je passerai chirurgien. Je me sers rarement de mon arme, ce qui me convient. » Votre vie vous convient-elle ? Ou aimeriez-vous pouvoir changer certaines choses ?« C’est parfois usant. Le corps médical, on a beaucoup de pression… On a des vies entre nos mains. On n’a pas vraiment le droit à l’erreur. Je repousse souvent mes permissions, parce que je me pense plus utile au camp ou sur le terrain. J’aime ce que je fais, même si des fois, j’aimerais pouvoir faire plus. Mais ma vie me convient. C’est dur, ce n’est pas toujours joyeux, mais je n’ai pas encore atteint mon point de rupture. J’ai des nouvelles assez régulière de ma famille, surtout de mon petit frère, c’est ce qui m’aide à tenir. » Un évènement a-t-il marqué, modifié ou bouleversé votre vie ?« J’hésite. Je dirais soit le 11 septembre 2001. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de m’enrôler. J’avais vingt-deux ans. J’étais à la fac… et ce jour-là… Tout s’est arrêté. Je me souviens d’un professeur qui est entré en courant dans l’amphithéâtre pour annoncer la nouvelle et la panique qui s’en est suivi. Tout le monde s’est précipité dehors, allumaient les radios, les télés... Moi j’étais debout, figé à ma place, une vraie statue de sel. J’ai de la famille à New-York, j’ai eu peur pour eux. Je crois que j’ai appelé ma famille. Je chialais au téléphone, comme un enfant. J’ai appelé tous les membres de la famille pour être sûr… C’était assez horrible dans le fond… Ou alors, ce serait le premier blessé que j’ai perdu. C’était encore un gamin, il n’aurait jamais dû se retrouver là, les tripes à l’air et se vidant de son sang sans que je puisse rien faire. J’en ai fait des cauchemars pendant plusieurs semaines. Mais ça a renforcé ma détermination. A partir de ce moment-là, je me suis voué corps et âme à mon travail. » Lincoln D. Riordan |
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J’ai actuellement 21 ans passés de deux mois. Je fais des études informatiques et… j’envisage de faire carrière dans la police, l’armée… ou de partir élever des caribous au Canada ! J’ai découvert le forum sur le groupe Je suis RPGiste et j’assume… et j’ai décidé de m’enrôler. Bon, ce qu’on a oublié de me dire, c’est qu’on est pas payé… Merde je comptais sur ma solde moi ! 
Joke. Indeed, j’aime pas mal le fo pour le moment, c’est pour ça que j’ai postillonné à l’administration ! 
